Réalisé par Avec Hugo Becker, Jean Reno, Paul HamyPays: Genres : Science Fiction Durée : Année de production : |
4.5/10 |
Du gros potentiel appauvri par un scénario absent. À l’origine, le film était un court-métrage de 17 minutes et si le film tenait potentiellement la cadence sur un format court, ce n’est pas une évidence qu’il en soit de même lorsqu’il se retrouve transposé en version longue.
Le dernier voyage prend vie à travers sa photographie soignée et dans la retranscription d’un univers post-apocalyptique intéressant à découvrir. Malheureusement, l’enjeu, donc le fond, est loin de pouvoir égaler ici la forme. C’est ultra-creux et tout aussi frustrant. Car dès les premières images, on est happé par un monde qui nous attire avec des images sublimes qui ont du cachet (à l’image de l’affiche) entre maquette de la Tour Eiffel et décors arides. Accompagné d’une musique électro digne des plus grandes mélodies des années 80’s, le film avait vocation de bien faire. Niveau casting, Hugo Becker incarne parfaitement ce héros qui ne veut plus en être un. La jeune Lya Oussadit-Lessert est assez juste même si pas très utile au final. Et enfin, un petit bémol concernant notre cher Jean Reno, dont le faciès semble de plus en plus réduit à sa plus simple expression. Par déni, on mettra ça sur le compte de l’écriture bâclée du personnage.
Dans cette fable coincée entre science-fiction et poésie lunaire, on compte trop d’inconnus pour nous satisfaire. En effet, c’est quoi cette histoire d’unique astronaute qui peut sauver la Terre? Pourquoi lui seul est capable de le faire? Pourquoi son frère le recherche-t-il? Et surtout pourquoi le frère a-t-il un étrange pouvoir télépathique? Finalement n’aurait-il pas fallu donner ce don à notre héros pour le rendre exceptionnel et justifier sa singularité? Ou alors c’est mal expliqué… Si le réalisateur Paul W.R avance dans un univers inconnu très authentique, le rythme et les interrogations en suspens nous laissent songeurs et souvent démuni devant l’œuvre entre la volonté d’aimer et détester l’œuvre. Si elle avait été moins pénible à voir, la révision aurait été judicieuse et même nécessaire.
Beau à l’image et à l’oreille et pourtant pénible à suivre par le manque d’explication sur la motivation des personnages.
en faite ils parle de dieu y en a qu’un qui peux sauver et a sauver et na jamais voulu la détruire sa c’est humain qui ce ment , bientôt Noël ce serai pas dieu amour qui pointe sons nez pour remercier toute désordre dans l’ordre bordélique féerique artificiellement naturel a accroire un ordre spartiate immaculé pour ce retrouvé a cette civilisation attendu pierre par pierre de technologie en technologie a venir faire coucou et offrir le rêves de tout êtres vivant l’immortalité tout est écrit dans la musique des image courante de temps en temps souvent chaque mainstream construit ce si beau temple qui est l’espace temps ou ce trouve la terre espace humaine si trouve le bonhomme de neige homme femme dans un intergalactique universelle , paece